Grant of a FIT early loan of CHF 300’000

DBS Systema obtenuunprêt Early de 300’000francsde la Fondation pour l’innovation technologique (FIT). Ce type de prêt,avecintérêtet sans garantie personnelle, est destiné à une entreprise en phase de développement commercialen recherche d’investisseurs privés.L’entreprise doit être basée dans le canton de Vaud et avoir un à trois ans d’existence pour pouvoir demander unprêt FIT Early. La FIT a comme objectif d’apporter un soutien au développement de projets technologiques innovants. Ses appuis sont conditionnés à une collaboration avec une Haute Ecolede Suisse occidentale.

DBS Systemrévolutionne et simplifie les prises de sang!DBS System développe et fabrique un dispositif intelligent de type “chipmicrofluidique” (format carte de crédit) pour le micro-prélèvement de sangau bout du doigt, en fonctionnalisant le support absorbant, unfiltre communément appelé Dried Blood Spot (DBS)». DBS System avait obtenu un prêt Seed de 100’000francs en octobre 2013.Aujourd’hui, ce prêtEarlyde 300’000frs va permettre à la société d’étoffer son équipe, dedévelopper ses activités de marketing et de promotion et de sécuriser ses partenaires de vente.

Eric Ödman, CEO de DBS Systemeodman@dbs-system.ch

Link to Article Source: http://goo.gl/keiIrZ
Link to FIT Website : http://goo.gl/MGBvEU

Les tests sanguins à portée de main

Pourquoi prélever 10 mL de sang, quand on peut faire une analyse complète avec une seule goutte ? Voilà le problème que Julien Deglon a voulu résoudre, alors qu’il était doctorant en sciences pharmaceutiques à Genève. « Quand vous faites une prise de sang pour une analyse, 95% de la matière prélevée part dans la filière jaune. Ces déchets biologiques ont un coût de traitement extrêmement important. »

Le jeune homme a développé une technologie simple et ingénieuse, pour éviter ce gaspillage. Le principe ? On pique son doigt au moyen d’une lancette, identique à celles utilisées par les diabétiques, par exemple. On approche la goutte d’un petit boîtier en plastique, qui, grâce à des canaux paramétrés, permet de générer quatre « dried blod spots », ou gouttes de sang séché de volume et de taille identique. De la taille d’une carte de crédit, ce « boîtier microfluidique » est breveté: c’est le coeur du projet du chercheur. La prise de sang se fait en une seconde, et le tout –papier et boîtier- peut être envoyé sans risques par la poste au laboratoire.

Les intérêts sont multiples : le procédé est moins invasif qu’une prise de sang classique et peut être réalisé chez soi sans risque. Il est moins coûteux, puisqu’il ne nécessite pas de personnel spécialisé. Le transport des échantillons est facilité. « La plupart des agents pathogènes sont désactivés lorsque le sang est transporté sous format sec. Des directives allant dans ce sens viennent d’ailleurs d’être émises par US postal », explique Julien Deglon, qui a gagné le prix d’innovation des HUG à l’automne dernier.

Désacraliser la prise de sang

Ce dernier a cofondé la société DBS System pour commercialiser son boîtier, et travaille déjà à son amélioration avec l’EPFL pour d’autres générations de tests. Les perspectives de développement sont immenses. « Nous voulons désacraliser la prise de sang. Toutes sortes d’applications sont possibles : contrôle au bord de la route ou antidopages, pédiatrie, sportifs et simples particuliers qui souhaitent checker leur état de santé », explique le CEO Eric Ödman, qui a travaillé comme analyste financier dans la grande consommation avant de s’orienter vers le conseil en management des start-up.

L’entreprise, soutenue à ses débuts par Innovaud et la Fondation pour l’Innovation Technologique, a levé 300 000 francs chez des investisseurs privés début juillet, qui ont été complétés par un nouveau prêt de 300 000 francs accordé par la FIT. Ils serviront à produire une première série de boîtiers, qui seront disponibles à la vente à l’automne 2015. Parmi les premiers clients : des industries pharmaceutiques, dont Novartis, et des hôpitaux suisses.

Link to Article Source: http://goo.gl/K380VH

La révolution de la prise de sang est en marche

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La FIT soutient deux entreprises dans le domaine des sciences de la vie

DBS System a obtenu un prêt Early de 300’000 francs. L’entreprise révolutionne et simplifie les prises de sang. DBS System développe et fabrique un dispositif intelligent de type ‘chip microfluidique’ (format carte de crédit) pour le micro-prélèvement de sang au bout du doigt, en fonctionnalisant le support absorbant, un filtre communément appelé Dried Blood Spot (DBS). DBS System avait obtenu un prêt Seed de 100’000francs en octobre 2013. Aujourd’hui, ce prêt Early de 300’000frs va permettre à la société d’étoffer son équipe, de développer ses activités de marketing et de promotion et de sécuriser ses partenaires de vente. Ce prêt est une aide avec intérêt et sans garantie personnelle, destiné à une entreprise en phase de développement commercial en recherche d’investisseurs privés. L’entreprise doit être basée dans le canton de Vaud et avoir un à trois ans d’existence pour pouvoir demander un prêt FIT Early.

Toujours dans le domaine des sciences de la vie, Cellestia Biotech SA vient de signer pour un prêt Seed de 100’000 francs de la FIT. L’entreprise développe de nouvelles classes de thérapies ciblées, destinées à combler des besoins thérapeutiques non satisfaits, dans les domaines de l’oncologie et des maladies immunes. Ce prêt de 100’000francs va permettre de conduire des études précliniques pour le développement de nouveaux agents thérapeutiques contre le cancer. Le prêt Seed, sans intérêt, est destiné à de jeunes entreprises, en phase de prototypage et de développement commercial du produit

La FIT a comme objectif d’apporter un soutien au développement de projets technologiques innovants, ses aides sont conditionnées à une collaboration avec une Haute Ecole de Suisse occidentale. La BCV est aux cotés de la Fondation depuis ses débuts. En 2013 la contribution annuelle de la Banque est passée de 50 000 a 500 000 francs ; une somme qui sera renouvelée pendant dix ans, afin de permettre à la FIT d’élargir ses soutiens. Depuis 1994 la  Fondation a accordé 140 prêts à 117 entreprises innovantes pour un montant de 17 millions de francs. Actuellement, 92 entreprises sont toujours en activité, représentant près de 600 emplois.

Plus d’informations sur le site de la FIT.

Link to Source Article: http://goo.gl/RlnMTV

DBS System in the online newspaper Mergermarket

DBS System to raise up to CHF 12M to launch lab-on-chip device
for dry blood and plasma samples

Privately owned DBS System is seeking investors to raise a CHF 2m Series A by
4Q15 and a CHF 10m Series B in 1Q17, Chief Executive Officer Eric Ödman
said on the side-lines of the 20th MedTech Investing Europe Conference in
Lausanne.

The Switzerland-based company has developed a microfluidic platform for
drawing blood and plasma samples.

Current shareholders are Ödman and the three co-founders — CTO Julien
Déglon, Julien Dumont and Aurélien Thomas — who together hold a majority
stake. A negotiable minority stake is available to new investors, he added. An
exit plan is anticipated for 2020 and could include a sale to a large player
focused on the provision of medical equipment to hospitals and laboratories,
he said.

The company is seeking to forge partnerships with major laboratory networks
such as LabCorp and Eurofins [EPA:ERF] with a view to building value and
revenues ahead of an exit. It has already developed sales channels into big
pharma, selling its blood sampling devices to Novartis [VTX:NOVN] and
Germany’s Merck [ETR:MRK], Ödman said.

The ease of use and versatility of the proprietary dried blood sampling device
has garnered interest from players outside of the pharma industry including
medical nutrition, and in future could interest players such as Nestle
[VTX:NESN], the CEO suggested.

Market launch for the first generation lab-on-chip device is expected in 3Q15
while the second generation plasma separation device is expected to be
commercialised in 3Q16, he said. The company’s first generation dried blood
spot standardised sampling device can be used in settings ranging from
clinical trials to surgeries.

The device replaces the need for needles and syringes: a drop of blood from
the finger is absorbed into micro-channels by capillarity and stored onto filter
paper. The device is then closed like a book and automatically seals itself so
that the blood is transferred onto a filter paper, dried and ready to be sent to
the lab for testing.

This overcomes issues typical to sample collection such as volume control and
hematocrit effect, Déglon said.

The company is also developing a second generation device for obtaining
micro samples of passively generated pure plasma. The device seeks to
overcome existing limitations related to volume control, plasmatic filtration,
standardisation and selectivity of the plasma, Déglon said.

The first investment will be used to scale-up production of its first generation
device, he said. The company is in the process of shortlisting OEMs for product
industrialisation, Ödman said. The funds will also be used for sales and
marketing support, he added. The company expects to receive the CE mark
this summer, he added.

The Series B will instead be dedicated to accelerating production of the
second generation device and the launch of the device in the US.
The only competitor in the space is US-based Theranos which collects fluid
blood samples at multiple points of care to be sent for laboratory diagnostic
tests.

DBS System’s advantage is that its samples are dried on filter paper for easier
storage and shipping. The company can also provide high purity plasma
samples, which typically involve lengthy procedures to obtain and are
required for testing creatinine and cholesterol in the blood, Ödman said.

Link to Article Source: http://goo.gl/F0207n

Interview with DBS Systems, the revolution in blood collection

DBS System is a medtech startup founded in December 2010 and located in the Swiss Health Valley. The company develops smart solutions to simplify the life of millions of people needing blood analyses worldwide. The DBS System device brings a revolution in blood collection with its ability of standardizing samplings everywhere, at any time and by anyone. Eric Ödman, DBS System‘s CEO, agreed to answer my questions during Biovision’s event.

Eric Odman, DBS System’s CEO
How did your Background lead you to start your own business?
After my MBA at the University of St. Gallen, I began my career working for big corporations, but quickly realized that I would not be able to make a change or difference for myself or for others. I felt much more at ease in SME, where you need to be fast and accept to take on all sorts of risks. I have also seen people unhappy at their jobs for years, regretting having never grabbed the opportunity to start their own thing. Not so easy to do, but once you have taken that first step, there is no going back and very few look back on it as being a mistake!

Could you tell us more about your activity?
We are trying to revolutionize the way blood sampling is taken. It is a medical procedure that has not evolved in the last 59 years. To do so, we have introduced a smarter way to collect blood from anyone’s finger tip, which allows people to do their own tests at home, in the office, wherever, whenever, without needing doctors or labs for an analysis.

Why this idea?
Some things remain frozen in time, while their environment, ecosystem evolve and benefit from technological progress. Blood sampling, here, is a perfect example of this case. Some people like to describe what we are trying to do as business re-engineering. Regardless of these remarks, we feel it is time to sample the quantity of blood that is necessary directly from a finger tip. Let’s get rid of syringes, needles and blood tubes.

What differentiates the DBS system from its competitors?
We provide an elegant solution that delivers secured and standardized samples to the lab. We use a support that is useable in the lab and doesn’t disturb the work flow and is easily automatable. We also work on a microfluidic chip, which allows for further functionalization of our devices. We target the Pharma Industry and the clinical trials initially, but we will also aim at covering the B2C markets (individuals).

What are the next steps?
We need to strike up partnerships with industry segment leaders, in order to cover the sales and marketing activities and raise funds to secure proper production capacities.

Link to Source Article: http://goo.gl/9OVq8o

Selected Companies for the Entente Life Sciences Investment Forum

The partners of the ENTENTE-project together with the European Commission and EuropaBio (the European association for BioIndustries) are proud to announce the companies selected to present at the ENTENTE Life Sciences Investment Forum, taking place on October 9th at the Stanhope Hotel in Brussels, during the 2014 European Biotech Week.
Selected companies

The 28 European selected companies have been evaluated by the selection committee members among a pool of 100 innovative companies active in the Life Sciences sector and seeking investment opportunities and international exposure. The entrepreneurs will pitch their innovation, developments and needs in front of an international jury consisting of about 40 business angels, venture capitalists, corporate investors and other industry experts.

Link to Source Article: http://goo.gl/ygHtRD

DBS System veut vendre ses kits d’ici à la fin de l’année….

Une prise de sang sans douleur
DBS System veut vendre ses kits d’ici à la fin de l’année. Dans l’immédiat, la start-up cherche en priorité
à convaincre les pédiatres La traditionnelle prise de sang effraye bien des enfants et même certains adultes. «D’autant plus
lorsque la veine n’a pas été trouvée du premier coup», souligne Eric Ödman, directeur de DBS System.
Cette start-up romande, fondée en décembre 2010 par Julien Déglon, Aurélien Thomas et Julien
Dumont, veut donner un coup de jeune à cet acte médical. Elle a développé un kit, à peine plus
grand qu’une carte de visite, permettant de simplifier la procédure.
Il suffit de se piquer le bout du doigt à l’aide d’une lancette. La goutte de sang est alors mise en
contact avec la plaquette en plastique et pénètre, par capillarité, dans quatre microcanaux. Elle est
alors dirigée vers du papier absorbant. «Notre méthode permet de recueillir 20 microlitres de sang
contre 10 millilitres lors d’une prise de sang traditionnelle»,
compare Julien Déglon, pharmacien et co-fondateur de la start-up. Le kit, contenant le sang séché, sera ensuite envoyé, par la poste, au
laboratoire chargé de l’analyse.
Le papier buvard est un support utilisé depuis les années 1960, notamment pour le dép
istage néonatal. Les nourrissons connaissent déjà ce type de prélèvement sanguin à leur naissance pour dépister
certaines maladies graves. Quelques gouttes de sang sont prélevées à leur talon pour être recueillies
sur du papier absorbant. «Il est tout à fait possible de faire des analyses de sang sur de très faibles
volumes. A la différence du dépistage néonatal, nous sommes capables, grâce à notre technologie,
de donner des informations sur le volume de sang récolté», souligne Eric Ödman, un spécialiste du
capital-risque. La start-up travaille sur différentes études cliniques, en collaboration avec les HUG et le
CHUV.
Recherche de fonds
Le prototype breveté attend sa certification (marquage CE) pour démarrer sa phase de
commercialisation. Un partenaire industriel à Rapperswil, spécialisé dans l’injection plastique, se
chargera de la fabrication des kits. «Nous espérons démarrer nos ventes d’ici à la fin de l’année, note
Eric Ödman, qui s’attend à un chiffre d’affaires de 2,3 millions de francs en 2016 et 18 millions de francs
en 2018. Nous allons chercher un partenaire pour la distribution de nos plaquettes.»
Soutenu par la Commission pour la technologie et l’innovation (CTI), la Fondation pour l’Innovation
Technologique (FIT), le SEPCo ou Innovaud, DBS System est actuellement en phase de financement. Elle
recherche 1 million de francs. La start-up développe déjà une seconde génération de carte permettant d’extraire le plasma sanguin
de manière automatisée et passive, c’est-à-dire sans avoir recours à une centrifugeuse de laboratoire.
Pour finaliser ce nouveau kit, DBS System travaille avec un laboratoire de l’EPFL. Cette deuxième
génération de tests, qui sera finalisée d’ici la fin de l’année, aura des domaines d’applications
beaucoup plus larges, à l’exemple des paramètres de chimie clinique comme le taux de glucose, de
potassium ou de cholestérol. La première version permet essentiellement de mesurer avec précision la
présence de marqueurs sanguins spécifiques ou d’analyser certains médicaments dans le sang.
La start-up espère également vendre ses tests directement en pharmacie pour environ 20 francs pièce. «A
terme, il sera possible de réaliser un bilan sanguin sans passer par un centre de prélèvements», prévoit
déjà Julien Déglon. Toutefois, dans l’immédiat, la start-up cherche en priorité à convaincre les
pédiatres, mais également les hôpitaux et les industries pharmaceutiques.
Link to Article Source: http://goo.gl/EE7uzb

Medtech. La start-up DBS System a développé une plaque microfluidique….

L’avance technologique reconnueMedtech.

La start-up DBS System a développé une plaque microfluidique pour remplacer la seringue.

Une levée de fonds est en cours.Fini la peur des seringues. Le processus de prise de sang connaît une évolution importante et moins traumatisante. Basée à Gland, la start-up DBS System souhaite moderniser une méthode datant des années 1970 en démocratisant le procédé. Créée en décembre 2010 par les co-créateurs Julien Déglon, Aurélien Thomas et Julien Dumont, la start-up a ainsi développé une plaque microfluidique ressemblant à un porte-cartes de visite. Elle est constituée de micro canaux paramétrés lui permettant de contrôler le volume de sang nécessaire. Le patient se pique tout simplement le bout du doigt pour recueillir une goutte de sang. La quantité de sang requise, 20 microlitres, va pénétrer directement dans les canaux. «Les gros tubes de sang ne sont plus nécessaires!», se réjouit Julien Déglon. A la suite de la fermeture du couvercle, les canaux vont libérer lesang sur une surface absorbante, similaire à du papier buvard. Le sang est ainsi conservé de manière sécurisée. «Si les canaux ne sont pas correctement remplis, précise Julien Déglon, le sang ne sera pas transféré par le papier filtre. Cette standardisation de l’ensemble du procédé nous confère un avantage certain.» Le sang ainsi séché est facilement transportable et ne nécessite pas un système de refroidissement pour le conserver sous forme liquide. Minimisant le risque de contamination. La conception de la structure de la plaque microfluidique assure également une simplification de la chaîne logistique des échantillons de sang, dans le transport et le stockage. «Envoyé par la poste, le système confère une optimisation des résultats», souligne Julien Déglon.

En parallèle, DBS System développe une seconde génération de carte permettant non seulement un contrôle du volume de sang récolté mais également une extraction du plasma de haute pureté. La fonctionnalisation des plaques garantirait une séparation des globules rouges du sang dans le but d’avoir une matrice compatible pour un large panel d’analyses sanguines. «Nous sommes encore en phase de développement, indique Julien Déglon. Nous travaillons de concert avec l’EPFL pour optimiser le produit.

Avec desbrevets déposés en Europe et aux Etats-Unis, la start-up cible le marché de la pédiatrie dont les barrières d’entrées sont facilitées. Selon une réflexion des co-créateurs, il est nécessaire de travailler le marché adulte par le biais des enfants. «La pédiatrie a une influence directe sur les mœurs des patients. Nous voulons d’abord inculquer cette nouvelle procédure aux enfants, avant de franchir un nouveau palier.» Deux segments sont à l’étude: l’oncologie pédiatrique et le secteur du screening néo-natal.

Le développement et le prototypage terminés, le directeur général de DBS System, Eric Ödman, mène actuellement une phase de levée de fonds à hauteur d’un million de francs. Avec les soutiens de la Commission pour la technologie et l’innovation (CTI), labourse FIT, le Service de la promotion économique et du commerce du canton de vaud (SPECo) et le réseau Platinn, la direction de DBS System veut maintenant être visible sur la scène nationale de l’innovation. Ainsi, la recherche d’investissements se ferait dans un réseau déjà structuré. Grâce au partenariat conclu avec l’industriel Weidmann Medical Technology (Rapperswil), le montant permettrait d’optimiser la production du device et de débuter une phase de commercialisation. «La carte a été validée dans un laboratoire hospitalier et une étude est en cours au sein d’une société pharmaceutique, spécifie le directeur général. Il nous faut encore franchir l’étape de certification Marquage CE en déposant un dossier d’enregistrement. On espère le lancer fin 2014.

En guise de conclusion, Eric Ödman confie que l’ambition de DBS System est de commercialiser le produit en pharmacie, «à côté des tests de grossesse.

Link to Source Article: http://goo.gl/bzvZ1s